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La drogue qui rend invicible

Une nouvelle drogue du viol est apparue ces dernières années, permettant de faire faire ce que l'on souhaite à une éventuelle victime, -y compris d'être active-, tel un somnambule, sans lui laisser aucune trace mnémonique. Cette drogue dans une moindre mesure permet également de faire dire ce que l'on souhaite à une personne sous son emprise, du fait de la forte suggestibilité qu'elle induit, proche d'un état hypnotique.
Pour l'instant, cette drogue reste à l'usage exclusif de certains milieux, telle que l'armée, la police, les milieux scientifiques ou politique, et plus globalement les milieux élitistes. Elle aurait été utilisé pour la première fois comme sérum de vérité à guantanamo, sur les prisonniers iraliens. Aujourd'hui, elle permettrait de réaliser des vidéos zoophile, et pédophile, à l'insu des victimes.
Toutes personnes se sentant menacées par des personnes susceptibles d'utiliser cette drogue peuvent suivre les conseils suivant afin de se prémunir, ou afin de détecter tout symptôme consécutif au fait d'avoir été drogué et violé.

Quelques conseils pour se protéger notamment si on voyage à l'étranger:
- acheter toute nourriture et toute boisson au hasard dans un supermarché, en évitant toute habitude alimentaire.
La drogue en question pouvant être assimilée à un fruit, ne jamais faire de réserves susceptibles d'être accessibles à quiconque -y compris à des personnes de confiance qui peuvent déjà être corrompues, ou qui sont intéressées pour commettre ce type d’exaction- et donc toujours consommer les aliments sur le champs.
- ne jamais accepter d’aliments, de boissons, ou de cigarettes venant d’autrui. Concernant les cigarettes, une autre drogue pourrait diminuer votre état de vigilance et permettre de vous faire absorber cette GHB de Guantanamo.

Dans le cas où subsisterait un doute ou une impossibilité de se prémunir au niveau alimentation -dégustation public, toasts en série...-, toute la stratégie afin de ne pas devenir vulnérable va consister à ne pas être réveillé pendant la nuit. Car les agresseurs utilisent un protocole inédit jusqu'ici avec les drogues du viol classiques, en obtenant la collaboration de la victime dés son réveil somnambulique -ouverture de sa porte par exemple-.
Ce protocole se déroulerait ainsi:

1) les agresseurs signifieront qu'ils se trouvent à la porte de votre chambre de manière bruyante.
Pour cela ils peuvent soit frapper à la porte le plus naturellement du monde, soit plus silencieusement vous laisser savoir toujours durant votre sommeil, qu'ils souhaitent pénétrer dans votre chambre, par exemple en actionnant la poignée de porte, ou en triturant bruyamment la serrure.

2) Ils leur aient absolument inutile de posséder la clef de votre porte d'appartement ou celle de votre chambre, car à ces stimuli bruyants, vous vous réveillerez, vous vous lèverez dans un état somnambulique et c'est bien vous qui ouvrirait la porte, peut être après avoir établi un premier contact verbal avec eux. La technique du confinement sonore est la plus idoine afin de se prémunir (boule quiès, musique de fond...).

3) Les agresseurs sont susceptibles de montrer des vidéos pornographiques juste après le réveil somnambulique de la victime, afin de lui faire reproduire ensuite à l’identique les scènes visionnées. Si vous soupçonnez d'avoir été violé, voici la liste des signes potentiellement révélateurs d'un viol, ou d'une activité nocturne non souhaité: bouche non pâteuse au réveil,yeux non collés, absence de sentiment de soif, absence d'envie d'uriner, réveil matinal tardif, sentiment de fatigue en dépit du sentiment d'avoir bien dormi, réveil dans le brouillard, douleur anal ou vaginal, absence d'érection matinale, sentiment de panique ou d'angoisse, envie de pleurer , confusion, irritabilité, agressivité, anxiété, labilité affective telle que des sourires ou des rires non pas immotivés, mais nerveux au cours de la journée....

Les exactions commisent sous cette drogue, laissent également des traces inconscientes qu’on ne réalise pas -traces différentes des flash de la GHB standard-, et que l’on peut exprimer dans son discours ou dans des écrits sous la forme d’associations, ou d’allusions inconscientes, ce qui accessoirement peut faire sourire les pervers informés de ce que l’on vient de subir.